A Language Learner's Forum Film Club

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Via Diva
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Re: A Language Learner's Forum Film Club 2015

Postby Via Diva » Mon Feb 15, 2016 5:07 pm

Phoenix(2014)

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Erkennst du mich?

So you'd think it's your usual Holocaust movie, a Jewish woman who survived being in Auschwitz has serious facial wounds and has to undergo major facial surgery, and even though she asked the doctor to not change her appearance, she still ends up with her face changed quite a bit...
Since from now on a train of spoilers follows, I'll try to use German.

Nelly Lenz liebt ihren Mann, und sie weißt nur, dass er auch zwei Tagen vor ihr verhaftet war. Sie hat etwa Geld geerbt und das hilft ihr mir dem Überleben. Also sie will eigentlich nach ihren Mann suchen, aber ihre Freundin Lene hat ihm schon getroffen, als er versuchte, Nellys Geld zu kriegen. Sie findet auch aus, dass Johannes Nelly in der Tag, an dem sie verhaftet war, geschieden hat. Also Lene versucht Nelly zu überzeugen, nach Palästina mit ihr fahren, weit von Deutschland und den Spüren des Kriegs. Nelly geht aber Abends aus und sucht nach Johannes (wem sie nennt Johnny) in Restaurants, vielleicht spielt er da Piano, wie vorher, vielleicht, wird sie mit ihm wieder singen, wie vorher. Endlich sieht sie Johnny in einer Bar "Phoenix", er spielt aber kein Klavier, nur arbeitet als ein Kellner oder so was. Zuerst erkennt er sie nicht, sogar wenn sie nach ihm mit "Johnny!" ruft. Endlich aber geht er zu ihr, und bietet ihr an Hilfe. Sie muss einfach seine tote Frau spielen, um ihr Geld zu kriegen. Und sie entscheidet, es zu machen.

Zuerst wollte ich einfach alles zu schreiben, was da passierte, aber ich kann nur sagen, dass ich am Ende viel geweint habe. Es ist kein 10/10, um ehrlich zu sein, aber für mich stimmt es. Das Ende ist ja eigentlich nicht genau klar, und ich weiß, das in Europa es oft ein Problem ist, aber das stört mich auch nicht.
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Montmorency
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For Those who have access to BBC TV (broadcast or iPlayer): "Beck" (Swedish with English s/t)

Postby Montmorency » Sat Jul 16, 2016 6:41 pm

For Those who have access to BBC TV (broadcast or iPlayer): "Beck" (Swedish with English s/t)

BBC4 Saturday 16th July 2016 21:00 BST (and then available for up to 28 days via iPlayer).

Tonight:
The Japanese Painting
Beck

Martin Beck gets a phone call from his German colleague Hans Sperling, who is in Stockholm for an art auction. Sperling was interested in a Japanese erotic painting but was outbid by a woman who was later found dead in his hotel, and he needs Beck's help. Beck investigates the murder, together with his team and Sperling, which leads them into a dark world of art fraud.

In Swedish and German with English subtitles.


edit: forgot the link(s):

http://www.bbc.co.uk/programmes/b07lnnjq

http://www.bbc.co.uk/programmes/b06chqn8
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Jean-Luc
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Re: A Language Learner's Forum Film Club 2015

Postby Jean-Luc » Sun Feb 03, 2019 7:15 am

Mes séries préférées chinoises et coréennes sur Netfix ou Viki:

Le descriptif est issu de Viki mais l'avis est le mien!

Médecin légiste : Docteur Qin (Chine)

Personne ne peut supporter de travailler avec lui mais il excelle dans son travail. Qin Ming (Zhang Ruo Yun) est un médecin légiste excentrique qui a une façon particulière de faire les choses.

Un polar excellent, des personnages étonnants et la visite de la Chine urbaine profonde.

Ever night (Chine)

Ning Que (Chen Fei Yu) est l’unique survivant du régime du général Lin Guang Yuan qui s’est imposé des suites d’une attaque brutale et calculée contre un autre dangereux général.

Une épopée de 60 épisodes haletants avec de magnifiques paysages, de la magie qui s’embrase, des combats du feu de dieux, des personnages attachants, des empereurs, princesses et leurs décors de palais magnifiques. Des trahisons érigées en oeuvre d’art où il est parfois difficile de différencier le mal du bien. Revue deux fois dans la foulée et la saison deux semble être en route…

Masters-sun (Corée)

Le soleil du maître. Joo Joong Won est un PDG ambitieux et froid, qui mesure toutes les relations humaines par l’argent. Tae Gong Sil est une assistante sensible qui souffre d’insomnie à cause de son aptitude à voir les fantômes, acquise après un accident.

Bataille d’entrepreneurs, secret de famille et deux personnages impossibles dont l’un s’occupe de fantômes. On s’inquiète de la santé mentale des scénaristes…

Madame Antoine (Corée)

Une femme attentive pourra-t-elle déjouer un psychothérapeute ? Go Hye Rim (Han Ye Seul) gère la café Madame Antoine au rez-de-chaussé d’un immeuble qui loge aussi une clinique célèbre de psychothérapie. Hye Rim utilise son intelligence et son intuition pour servir de conseillère au psychothérapeute.

Une comédie relevée et charmante, combat entre rationalité et sensibilité. Beau comme un camion! On parle même un peu français…

Princess’agents (Chine)

Durant l’époque anarchique de la Dynastie Wei du Nord, d’innocents citoyens ont été enlevés et réduits en esclavage.Chu Qiao (Zhao Li Ying) est l’une de ces malheureuses personnes, réduite en esclavage puis jetée dans les bois pour servir de cible de chasse à de riches seigneurs. Yan Xun (Dou Xiao), le prince du Yan du Nord, sauve Chu Qiao.

Une histoire de services secrets avec une femme héroine. Brutal et prenant dans une Chine ancienne pleine de fureurs. Épique.

Une fille canon (Chine)

Guan Xiao Di (Dilraba Dilmurat) est une jeune femme rebelle. La voie traditionnelle, à savoir poursuivre des études et une carrière sans saveur, ne l’a jamais intéressée. Lorsqu’elle tombe par hasard sur un centre de formation de gardes du corps, sa vie ne sera plus jamais la même.

Un bon film d’action. Belmondo n’a que se tenir.

Quand un escargot s’éprend (Chine)

Poursuivre des criminels est-il plus aisé que de tomber amoureux ? Ji Bai (Wang Kai) est un agent de police de renom. Avec son partenaire Xu Xu (Wang Zi Wen), une profiler criminelle débutante, ils forment un duo étrange aux yeux de leur entourage.

Un polar bien ficelé et plein d’action. Titre typique des traductions à la con des titres de films asiatiques qui vous font généralement fuir. Restez.

Gobelin (Corée)

Est-ce mieux de vivre éternellement ou de finalement pouvoir mourir ? Kim Shin (Gong Yoo) est un général décoré de la dynastie Goryeo trahi par le roi jaloux qu’il sert.

Un grand classique qui se passe à l’époque moderne… Caractéristique d’un imaginaire que l’on ne sait plus faire en France depuis Mèlies. Ambiance décalée et mystérieuse.

Sans issue (Corée)

Est-ce qu’un groupe de nouveaux détectives réussira à protéger les gens du quartier riche Gangnam à Séoul contre les nombreux crimes?

On s’attache très vite aux personnages perdus dans leurs débuts dans la police et perpétuellement sous le joug d’une intrigue pesante. Tranches de vie sociale aussi…

La couleur d’une femme (Corée)

Deux femmes qui travaillant dans une entreprise de cosmétiques veulent aller de l’avant grâce à des moyens très différents. So Ra veut utiliser son doctorat et travailler dur pour réussir dans sa carrière. Quant à sa colocataire Jin Joo veut utiliser sa beauté et ses charmes charismatiques pour accrocher un travail facile et avoir un mari.

Drames d’entreprise à rebondissement avec rectangle amoureux. Même pas honte de regarder! Un concentré de désirs à la coréenne et deux copines sympas mais si différentes. Style enlevé.

Panda et hérisson (Corée)

Pan Da Yang est aussi gentille et adorable que son nom l’indique. Elle est propriétaire d’une pâtisserie nommée « Panda Café ». Elle engage un nouveau pâtissier; Ko Seung Ji; dont le nom ressemble à « hérisson » qui correspond bien à son caractère.

Super attachant avec une guerre des gâteaux, une intrigue économique, des amours contrariés, des copines et un truc de secret de famille béton comme on en fait plus en France.

Birdie Buddy (Corée)

Raconte l’histoire d’un ancien joueur de golf pro, John Lee ses deux protégées qu’il entraîne à devenir les prochaines reines du golf. John Lee est devenu le premier coréen à gagner un titre PGA. Ses origines sont un mystère excepté sauf qu’il est adopté. Hormis le golf, il excelle aussi en Capoeira – un art martial/danse brésilien.

Un thème plus international traité à la coréenne. Pas un chef d’oeuvre mais distrayant (ici c’est la balle qui est à tomber). Et puis ça change des sujets à la K-pop ou du Kimchi mais avec toujours du tee…

La fille qui voit les odeurs (Corée)

Deux individus liés par un horrible événement se retrouvent à travailler ensemble pour résoudre cette affaire. Choi Moo Gak (Park Yoochun) a perdu sa jeune soeur, Eun Seol (Kim So Hyun), lors d’un massacre appelé « les meurtres aux codes barres ». Dévasté par son chagrin, Moo Gak devient policier pour essayer d’arrêter le coupable qui est toujours en cavale. Il a aussi perdu ses sens suite à la tragédie et est incapable de ressentir la douleur d’une tasse d’eau brûlante et se blesse souvent. Il rencontre Oh Cho Rim (Shin Se Kyung), une jeune femme qui a survécu à l’événement mais qui a perdu la mémoire et a acquis la capacité particulière de visualiser les odeurs.

À l’énoncé, on sait déjà que c’est un film coréen…Un truc de pouvoir impensable et délicat sans les gros sabots sauce américaine. Original avec amours au programme et de terribles actes criminels. Un secret de famille bien torché est aussi de la fête.

Classique immortel (Corée)

Un livre de recette secret pour faire un excellent Kimchi a été légué de génération en génération dans une famille pendant une centaine d’années. Le propriétaire actuel des recettes, Park Gye Hang, est l’un des plus grands cuisiniers de plats traditionnels en Corée.

Cette série est un thème récurrent en Corée, celui des traditions et de la dévotion à la bouffe, ici le Kimchi (dont l’attirance reste pour moi occidental ne vivant pas en Corée un mystère insondable dont la simple vue de la préparation me fait fuir encore plus loin). Mais le film est très bon, lui.

Shopping King Louie (Corée)

On peut avoir tous les privilèges et se sentir bien seul. Kang Ji Sung (Seo In Guk) est l’unique héritier du conglomérat chaebol de sa grand-mère depuis le décès de ses parents dans un tragique accident lorsqu’il était enfant. Il est élevé aux États-Unis sous l’identité de Louie par une grand-mère surprotectrice, coupé du monde extérieur et sans véritables amis.

Film d’entreprise avec ses fameux ingrédients made in Corée only où l’improbable ne fait pas bon ménage avec votre rationalité toute française. Surtout, surtout ne pas partir dans l’analyse sous peine de pétage de plomb.

Oh My Ghostess (Corée)

Est-ce la meilleure façon d’aller dans l’au-delà ? Na Bong Sun (Park Bo Young) est une femme timide et pleine de douleur qui travaille comme chef adjointe au Sun Restaurant. Elle a un faible, en secret, pour le célèbre chef Kang Sun Woo (Jo Jung Suk), mais n’a pas le courage de passer à l’acte. Mais Bong Sun à la capacité de voir les fantômes, en partie car sa grand-mère est shaman.

Drôle. Un fantôme vierge qui souhaite le faire avant de disparaître définitivement. Il n’y a qu’en Corée qu’on peut faire un film pareil…

Do Bong Soon (Corée)

Une force de la nature. Elle n’est certainement pas une femme ordinaire. Do Bong Soon (Park Bo Young) est une femme qui possède une force herculéenne.

Impayable. Un mélange de drôlerie et de polar sordide aussi inconnu en dehors de la Corée du sud.

Le Guerrier Baek Dong Soo (Corée)

Cette histoire se déroule durant la dynastie Joseon pendant le règne du roi Jeongjo; relatant le destin du héros Baek Dong-soo qui a révolutionné les arts martiaux au sein du royaume.

Ceux qui aiment les duels seront aux anges (comme les victimes) Entre sectes d’assassins, tueurs impériaux et autres querelles de pouvoirs, la naissance et révélation d’un guerrier très mal parti. On ajoute les ingrédients classiques amours, secrets de famille et bromances. Ça découpe sec dans les bagarres…

Bad guys (Corée)

Le commissaire Nam qui vient de perdre son fils tué par un tueur en série propose à l’officier Oh Goo Tak (Kim Sang Joong) de monter une équipe spéciale composée de criminels pour poursuivre d’autres criminels dangereux. Pour former son équipe Oh Goo Tak fait alors sortir de prison trois condamnés.

Type les salopards, ce film fait preuve d’une grande originalité avec un scénario pas bipolaire comme ceux d’Hollywood.Ça cogne et ça bouge et sans effet de cascades fumeuses.

L’amour du thé (Chine)

Une jeune femme aime l’art du thé. En grandissant, Du Xin Yu (Pan Zhi Lin) n’a pas le droit de toucher au thé à cause de la mort tragique de son père. Mais après avoir vu une émission du maître de thé, l’amour du thé de Xin Yu est ravivé et elle s’infiltre au jardin de Zhuo Qing pour prendre l’examen de qualification afin de devenir le disciple d’Afei. Alors que Xin Yu travaille fort pour se prouver, elle tombe amoureuse du fils aîné du président du jardin de thé, Tang Zheng Hao (Zhu Zi Yao), qui y travaille aussi.

La tradition et un film plus calme dans la cogne mais pas dans celles des intrigues et coups bas, une toute les demi-heures… L’histoire d’une passion, le thé, plus forte que tout.

L'article complet https://labdeslangues.blog/2019/01/10/20-series-coreennes-et-chinoises-a-tomber/
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Nadia
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby Nadia » Thu May 21, 2020 11:29 am

A couple of years ago I watched a movie "How to train dragon", and it impressed me a lot. It's a story intended originally for kids, but it's also pretty enjoyable to watch as an adult. You can also find the second and third parts, as well as a series and several short movies.
(spoilers):
It's a story about a boy named Hiccup, who hurt a dragon, but didn't have the heart to kill it. Eventually he learned to train and ride it, while everyone in the village was scared witless of dragons.
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bela_lugosi
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby bela_lugosi » Fri Aug 07, 2020 8:34 am

Brevi sermone Latine in multis pelliculis sunt, autem haec tota pellicula in lingua romanorum antiquorum est:

https://www.youtube.com/watch?v=RRTh3qqZLkQ
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby Le Baron » Tue Apr 20, 2021 1:00 am

At the weekend I watched the not-so-snappily titled Bello onesto emigrato Australia sposerebbe compaesana illibata (1971). Also known as: Girl in Australia.

It stars Alberto Sordi and Claudia Cardinale.

It's about the sizeable number of Italian immigrants who went to Australia after WW2. Many living in Italian communities and getting themselves fixed up with girls from Italy who were also trying to get out of Italy. Thus there's lots of bending of the truth on all sides and he bends the rules to get Cardinale's character to go to Australia. It's essentially a "road movie" and you get to see 1971 NSW around Broken Hill. I like those large red public telephones.

I've watched quite a few Italian films in the last few months - quite a lot of so-called 'Poliziotteschi' Mostly with subs and some where I turn them off for long periods. I've never formally studied Italian, but I've watched a lot of films and picked a lot up. Last Wednesday I started watching Gina Lollobrigida in La Romana, not finished it yet (she's stunning in that film). Probably because I also started La Corruzioni (Gian Maria Volonte) about two days before..!
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby Le Baron » Wed Apr 21, 2021 12:32 am

Earlier on I watched Brigitte Bardot in Une Parisienne (1957). I saw this about 30 years ago, but hadn't seen it since. Not a profound film by any means, basically a mild sex farce.

The colour of the photography is very good though, with that slightly muted look of two-strip colour processes; though it is in Technicolor. There are some genuinely funny moments and scenes and the actors are all very capable.
This is early Bardot so she's basically playing her girlish 'coquette' character and to be honest it can be a bit annoying to see her pouting through an entire film. But oh...she's very agreeable to the eye. It also looks like she's driving about in a nice little Austin Healey at the start.

The French is very clear and enunciated in this film, I'd recommend it for anyone at an intermediate stage.

A trifle of a film really, but I have a fondness for trifle.
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby Le Baron » Fri May 28, 2021 2:38 pm

On Wednesday I finished watching Indagine su un cittadino al di sopra di ogni sospetto (Investigation of a citizen above suspicion) with Gian Maria Volonte. Has anyone else seen this? It's a great film, if a bit bizarre. Volonte's character is psychotic. His portrayal of a fine balance between power-madness and mental collapse is excellent.

You can actually watch the whole thing in great quality on YT: https://www.youtube.com/watch?v=vcPVPJWjLTo&t=30s

Someone on youtube uploads classic Korean films (from the 50s-70s) and I have a few of those lined up. I was actually watching one about a fellow who arrived in the metropolis from the countryside to find his son, but it disappeared before I could finish it. :( Those films are excellently photographed in glorious colour. The black & white ones are also beautifully photographed. In the west most people are unaware of the Korean film industry (as I was), but it's full of some real gems.

Here's the channel. https://www.youtube.com/user/KoreanFilm
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby Le Baron » Fri Dec 17, 2021 11:51 pm

Just earlier I watched Leni Riefenstahl's 1932 film Das Blaue Licht. Meine güte, das war ein ganz toller film! It's a little masterpiece. Though nominally a sound film it is essentially a silent film where the inter-titles have just been spoken aloud and there aren't many of them. The recording of the dialogue in comparison to the music is quite poor, but it really doesn't matter. The musical score is superb and it's been carefully plotted to fit. There's a bit where the 'hero' shouts 'Junta!' and then the musical cue matches it tonally. The way the music carries the film is what makes more like a silent film. It uses leitmotiv, but not in crude sort of way.

The photography is spectacular. So much outside location photography in 1932 with those cumbersome cameras and yet done so well. Some of the set pieces are without doubt on a purpose-built set, but it's just seamless. Hitchcock remarked that when he witnessed these German films being made they were so tightly storyboarded with every shot meaningfully plotted to say something. It's why he storyboarded his films the way he did and the German cinematography approach never left his films, right up to his Frenzy. In Das Blaue Licht there so much clever use of the landscape and natural elements, The swirling clouds and mists play a role themselves, even at one point where instead of a standard fadeout the camera focuses on a black sky where the last of the travelling cloud disappears into the top corner. First class. The editing is also superior.

The crystal thing is really like a 'MacGuffin'. The story is many things from many sources. Steeped in Swabian type, central European folklore. Fear of unknowns and imaginary things in dangerous places where village folklore has arisen to make people behave in a certain way. It's also a bit Gothic, a bit vampire without a vampire.
The character Riefenstahl portrays is like a sort of wolf-child. Though she's sort of asexual in the film there is a lyric eroticism about her. I don't think she's beautiful, but she's striking and fascinating to look at. You can tell she's a silent film actress and the same performance style runs through all the characters. I think this is a good thing. It gives the film an other-worldly, ethereal feel, like in Nosferatu, but in that non-pantomime-ish way.

I now have that slightly dazed, warm feeling I got after I watched the 1927 film Sunrise and after Chaplin's City Lights (my favourite of his films). This was a good film.
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Re: A Language Learner's Forum Film Club

Postby Le Baron » Thu Dec 30, 2021 12:04 am

Have you seen Vera Chytilova's film Daisies? She was an avant-garde Czech director who was still making films in the 2000s. Daisies (or Sedmikrásky in Czech) is a 'new wave' film that is very different from the French sort of new wave. No highly-strung dialogue. It aims to overturn female stereotypes and attacks 'bourgeois decadence' in a hilarious way. It's pretty radical and must have been abysmally so in 1966 because the Czech authorities banned it. The two main actresses were amateurs, non-actresses actually, who do an excellent job.

She also made a film with the intriguing title: The Inheritance or Fuckoffguysgoodday, but I haven't seen that. You can watch Daisies here. It's a good print.

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