Il n’y a rien de tel qu’un livre de grammaire pour nous aider a vaincre la mélancolie.
La grammaire est le meilleur antidote contre le cafard.
S’appliquer à un idiome étranger, fouiller dans des dictionnaires, poursuivre passionnément des vétilles, comparer plusieurs grammaires de la même langue, faire des listes de mots ou de tournures qui n’aient rien à voir avec nos humeurs – autant de moyens de surmonter le cafard. – Pendant l’Occupation, je portais sur moi des listes de mots anglais que j’apprenais par cœur dans le métro ou en faisant la queue devant les bureaux de tabac ou les épiceries.
(This is from his Cahiers. Sorry for the original but I don't have access to the English translation, if there's one)
This quote seems to be rather relevant in our COVID times although my personal experience is completely the opposite: I find it harder to learn languages now.