Time to honour my pledge (or threat) to wrote a few words in French about my recent trip to Madagascar:
FR: J'avait déjà visité cette île une fois, en 2006, et mon voyage alors était organisé par moi-même avec l'aide d'un bureau de transportation malgache, Madabus. Mais the parcours était relativement simple: minibus jusqu'à Tomamasina sur le côte Est, de la par bateau a Bush House dans la solitude à l'un des lacs sur lt canal de Pangalanes, de là a Brickaville et Andasibé, et finalement retour à Antananarivo (avec minibus local de Moramanga parce-que c'est plus bon-marché). J'ai vu que même les routes les plus importantes du pays étaient étroites et pleines de trous, et que le transport publique généralement est tout à ait insuffisante.
Quand en 2023 j'ai décidé de faire une visite de plus j'ai åar conséquent exclu la possibilité de le faire 1) avec les minibus locaux qui sont surpeuplé et ne vont là où j'aurai voulu aller, 2) dans une voiture louée, ce qui auraient me laissé dans un état de panne mentale totale. J'ai alors lu tous les plans publié par les agence de voyage pour Malgache - un nombre assez resteint d'ailleurs. Celui qui m'a convenu le plus était celui d'une compagnie nommée Stjernegaard, que j'avait déjà utilisée pour mon voyage à une vitesse vertigineuse à travers l'Inde du sud en 2020 - et j'aime bien ce type de voyage. L'idée de me placer sur un siege d'un café-terrasse et regarder le monde passer devant moi me semble et dégoûtant et ennuyeux. Hélas, le voyage dans l'automne 2023 était épuise quand je m'avait finalement décidé, et alors j'ai acheté son homologue de mars-avril 2024. Et cela n'était pas bon-marché du tout
, mais il faut parfois dépenser un peu de l'argent pour s'amuser.
Bon ben, j'ai parti de Copenhague à Charles de Gaulle, et de là 10½ heures dans un avoin où le poulet était fini et on à servi quelque chose nommé ratatouille qui ressemblait plutôt à la diarrhée d'un végan - j'ai préféré risquer mourir de faim que de manger cette abomination. Nous sommes donc arrivé à l'hôtel Combava à mi-chemin entre l'aéroport et centre-ville Tana (mêmes les indigènes pensent que le nom Antananarivo est trop long!) vers 2 heures dans la nuit, et le jour après nous sommes partis à 7:30 vers l'est.
En chemin, nous avons visité une collection bien équipée privée de caméléons, mais notre destination finale était un complexe nommé Vacôna, et d'abord nous avons visité l'île des lëmuriens - malgré la pluie. Il faut y aller par kayak, mais j'ai survécu l'épreuve sous ma parapluie, et il y avait en effet des lémurs là - Fulvus fulvus ('lémur brun') et Varecia variegata (maki noir et blanc) et quelques sifakas trop lointains pour être photographiés. Le Vacôna se trouve au nord du parc national Andasibé, que j'avais déjà visité avec seulement moi et une guide en 2006, mais maintenant nous en groupe (quoique divisé en deux), et on n'a vu que la moitié des animaux que moi et ma guide ont observés en 2006. La pluie avait cessé, mais les pistes était trempés, et donc il fallait regarder devant soi sauf dans les arrrêts - et il n'y avait pas assez d'arrêts.
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Après Andasibé nous sommes retournés au Combava, et le lendemain on ét allé vers le sud, vers la ville d'Antsirabe. Et comme toujours dans les voyage en groupe il fallait visiter quelques artisaneries et marchés et restaurants, mais puisque la culture Malgache est si loin de celles d'EUrope il y avait normalement quelque chose d'interessant d'observer. Le pire pendant certain tours en groupe est quand il faut pedre deux heures a visitrer un lieu quelconque ou un restaurant isolé est médiocre parce-que le lieu est si peu engageant que le propritétaires ont choisi de soudoyer les organisateurs de voyages pour qu'on s'arrête là. Mais généralement ce n'était pas le cas pendant ce tour - les restaurants étaient OK et les marchés valaient bien une visite. Et on a arreté souvent aux stations-service avec mini-supermarchés où je pouvait acheter du lait au goût fraise ou vanille ou des jus exotiques. L'homme ne vit pas de cola seulement, mais .... ahem, la cola. Les Malgaches ont eu des controverses avec le groupe Coca Cola aux Etats-Unis (apparemment ils ne payaient pas leur frais de licence), et pour cela la cola qu'on boit partout aujourd'hui à Malgache est 'World Cola' - sans licence, mais le goût est presque le même.
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Aprés Antsirabe on est allé vers Ranomafana, où il y aussi un parc national. On est arrivé vers huit heures le soir, non seulement parce que la route était dans un état lamentable, mais aussi parce que'elle était pleine à raz-le-bol avec des personnes qui célébraient le Lundi de Pâques.
Et vers Ranomafana la pluie a recommencé. L'île de Mada est divisée en deux par les montagnes. Le vents viennent surtout de l'est, et la pluie tombe par conséquent surtout dans la moitié orientale. La partie occidentale est beaucoup plus seche (on y arrivera plus tard). Le Parc National de Ranomafana est toujours trempé, et cette fois la pluie n'a pas cessé de tomber - seulement pour faciliter la visite d'un groupe quelconque. Mais j'ai eu un peu de chance: on a divisé le groupe en trois, et dans mon groupe - ceux qui aimeraient regarder des oiseaux - il ne restait que moi. Les autres sont restés à l'hôtel. Le reste des participants ont préféré le trajet ordinaire, lurés par la promesse de voir des lémuriens. Mais même avec un guide ornitologue privé à ma disposition on à vu très peu d'oiseux dans le parc. Après avoir atteint le point le plus haut et vu presque rien j'ai donc proposé à mon guide qu'on retourne au point de départ - et oh! miracle, soudainement la pluie a cessé, et on a vu un tas d'oiseaux le long de la route asphalté. Il faut d'ailleurs mentionner que la nature sur l'île est réduite à quelques rares enclaves, et généralement on ne voit pas beaucoup d'oiseux même là. En effet, je vois plus d'oiseaux dans mon jardin au Danemark pendant deux semaines que j'ai vu pendant tout mon voyage a Mada.
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Bon ben, on est continué a Manakare à la côte est de l'île, et notre hotel se trouvait tout près de l'Océan Indienne. Et la pluie avait cessé
, mais la region était déjà partiellement submergée. L'idée était maintenant qu'on aille en deux bateaux avec 5-6 timôniers chacun d'abord quelques kilomètres vers le nord sur le Canal des Pangalanes (construit sous l'occupation française) - pas de problme - et après à contre-courant sur le fleuve - ce qui prouvait d'être une idée assez mal conçue parce que le courant était pire que normalment à cause des inondations. L'autre bateau a seulement pu passer un pont à l'aide d'un ts d'hommes locaux dans l'eau, et dans mon bateau on a simplement déclaré une mutinerie et refusé de continuer. On est retourne à notre autobus, et les timôniers ont alors pu franchir les flots du fleuve dans le bateau vide pour notre prochaine destination - ou plutôt destinations, parce-que il fallait visiter un lieu où l'on produit des 'huiles essentielles' à la base de herbes et aussi un lieu où l'on produit (et vends!) de la vanille et une cimétière chinoise. Mais on a dejeuné au bord del la mer - pas si mal que ça!
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Pour accéder au côte ouest de l'île par des chemains asphaltés il faut retourner a Ranomafana et tourer à gauche vers la ville Fianarantsoa, qui a un million d'habitant (contre trois à Tana). Mais la route qui relie les deux villes les plus grandes dans le pays est à peine assez large pour permettre le croisement d'un bus et d'un camion et est (évidemment) plein de nids-de-poule. Notre hôtel à Fianarantsoa était le seul qui se trouvait au plein centre d'une ville, et son voisin était en effet le célèbre marché de vendredi...
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.. mais dès lors on est allé vers le sud-ouest à travers un paysage de plus en plus plat et de plus en plus sec. Mais pas tout à fait plat: il y a le Parc National d'Isalo, qui se trouve sur et autour d'une longue crête de montagne. Bon ben, pas si haut que ça mais assez pour que l'agence de voyage a prévenu les participants que ceci pourrait devenir la visite la plus fatigante du voyage. En effet c'était un effort surmontable, et surtout il n'y avait pas la pluie incessante de Ranomafana à nous traumatiser. On a aussi visité un coopératif qui gère un parc privé avec des Lémur catta, et ils étaient suffisamment habitué aux gens pour qu'on puisse en faire de bonnes photos.
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Et finalement on est arrivé à la côte ouest où nous avons passé deux nuits dans un resort appelé Nautilus. Et à mon grand étonnement j'ai vu ici plus d'oiseaux que partout ailleurs à Mada, y compris dans les parcs nationaux. On a visité un parc privé avec des baobab de toutes tailles et un village de pêcheurs, et très tot le deuxième matin on est allé par avion a Tana pour une dernière nuit sur la Combava. En effet cela n'était prévu quand j'ai acheté le voyage, mais à court terme avant le départ l'agence avait ajouté une dernière nuit à Tana, simplement parce que on l'a jugé trop hasardeux de compter sur la précision de la compagnie aérienne malgache. Il est normal qu'elle change le horaire juste avant le départ (même quand les voyageurs déjà sont dans les aéroports), et parfois on supprime un vol simplement parce que la compagnie n'a pas assez d'avions pour couvrir toute l'île, Cette fois tout est pourtant allé bien, ce qui permettait qu'on visite deux châteaux royaux. Le premier, le 'château de la reine' a brulé le 6 novembre 1995 et fut toujours une ruine durant ma première visite, mais depuis lors il a été reconstitué. L'autre chateau, celui d'été, se trouve 24 km hors Tana, et n'a pas été incendié. Là vivait le roi qui a unifié le pays et la reine qui l'a succédé - et qui n'aimait pas du tout les européens avec une seule exception: un certain monsieur Laborde (lequel elle aimait passionnément). Les royaux suivants ont vecu à Tana, jusqu'à ce que les français ont déporté la troisième et dernière reine en 1897, d'abord à Réunion, puis à Algiers.
Et du moins la compagnie aérienne qui nous a mené à Charles de Gaulle a servi à nous les passagers non végétariens quelque chose qui vale la peine d'ouvrir la bouche: du zébou!
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). So I had not expected to write anything today either, but then I woke up from the most extreme foreign-language dream I have had for ages - and apart from a few words in English (OK, another foreign language, but...) it was totally in Romanian. So the rest of this message will be too.
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